Même si le quota des morts autorisés par le gouvernement laxiste de Ouattara, – plus que condescendant dans sa gestion des FRCI, véritables monstres sans foi ni loi –, n’est pas encore atteint, puisque le premier ministre Soro a parlé de provocation des populations contre les FRCI.
Gbagbo à La Haye : les preuves d’un complot international s’accumulent par Théophile Kouamouo
Les éléments discréditant la démarche empressée de Louis Moreno-Ocampo, de toute façon sur le départ, foisonnent. Et jettent un peu plus le discrédit sur un homme au service des grandes puissances et non de la [...]
Fenêtre sur l’Afrique du 03 Décembre 2011 sur Radio Kanal K en Suisse a été consacrée à l’actualité politique au Togo et commentaires sur l’actualité politique de la semaine dans quelques pays d’Afrique.
Comment dire ? C’est probablement la plus grosse escroquerie que l’ONU va montrer à l’Afrique. Avec la nomination habillée d’élection d’une africaine à la tête de la Cour pénale internationale (CPI), la gambienne Fatou Bensouda.
Adjointe du fou à lier et raciste Luis Ocampo-Moreno qui quitte son poste le 12 décembre prochain, l’institut international veut se dédouaner de sa chasse aux Africains.
Depuis le transfèrement abusif de l’ex président ivoirien Laurent Gbagbo dans les geôles de la CPI à La Haye, certaines personnes, des fanatiques, se permettent de dires des contrevérités abyssales sur mon point de vue d’hier.
Ainsi donc, j’aurai souhaité de mes voeux, l’intervention française sur le sol ivoirien. Que nenni. J’aimerai que ces dernières montrent une seule ligne où j’émets un tel souhait. Pourquoi je combats la gouvernance de Ouatarra ? Ambiance.
L’ex-président ivoirien Laurent Koudou Gbagbo est désormais dans les geôles de la CPI à La Haye, en Hollande. On assiste, en effet, à une parodie de justice. Ce transfèrement à la vitesse Grand V, procédure expéditive, ne s’est jamais vue dans les annales. Cherchez l’erreur !
KORHOGO – Même dans mes rêves les plus fous, je ne pensais pas un seul instant que le président ivoirien allait atteindre ce genre d’extrémité.
C’est avec consternation que j’ai appris que l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, 66 ans, a quitté hier soir, mardi, sa Côte d’Ivoire natale pour être livré aux chiens de la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye.
Publié le 22 novembre 2011 Laurent Gbagbo TRIBUNE LIBRE D’ELYMB’ADIKALO Il avait déclaré : « S’il arrivait que je tombe un jour, enjambez mon corps et continuez le combat car, le serpent n’est pas encore mort ».
Ces paroles de prophétie sont celles d’un combattant dévoué à la libération de la conscience kemite car la conscience précède la liberté. [...]
Faut- il croire que des concepts comme la protection des populations civiles ou le respect de l’Etat de droit ne sont plus utilisés aujourd’hui que pour dissimuler les véritables mobiles des opérations militaires ?
Comment la France va céder une partie de la dette ivoirienne aux patrons français.
Les chiffres des promesses d’aide au développement à la Côte d’Ivoire donnent le tournis. Dès la mise à l’écart de Gbagbo, la Commission européenne annonçait 180 millions d’euros d’aide pour rétablir le pays et le gouvernement français mettait 400 millions sur la table.
« Je renouvelle mon appel pour une audition devant la Commission des Affaires étrangères, sur les bombardements et les massacres par les Nations Unies, la France et les rebelles de Ouattara », a déclaré M. Inhofe, le mardi 12 avril 2011, devant le Sénat américain. Le sénateur républicain, un proche du président sortant Laurent Gbagbo et de son épouse Simone, arrêtés lundi 11 avril à Abidjan, en était à son cinquième discours devant le Sénat américain en une semaine, au sujet de la Côte d'Ivoire, pour dénoncer l'action de la France et des Nations Unies à Abidjan.
« J'ai averti les Nations unies et les Français, quatre fois la semaine passée, qu'ils auraient du sang sur les mains s'ils continuaient à soutenir les forces rebelles d'Alassane Ouattara », a-t-il dit en montrant des agrandissements de photos de personnes qui auraient été tuées par les rebelles à Douékoué. « Laurent Gbagbo n'est pas le problème. Le problème, c'est le retour à l'impérialisme colonial français », a-t-il dit. Par ailleurs, le sénateur a affirmé que des brutalités auraient été commises contre le couple Gbagbo, lors de son arrestation !
Le sénateur James Inhofe demande au département d'Etat que l'exil soit accordé à M. Gbagbo dans un « endroit où il ne soit pas assassiné », avant de préciser que celui-ci ne devait pas être jugé car cela signifierait pour lui « la prison à vie ». « J'aime les Français », a ajouté le sénateur, « mais ils ont complètement tort en ce qui concerne leur politique en Afrique sub-saharienne ».
De son côté, la Maison Blanche annonce que le président des Etats-Unis, Barack Obama, a appelé, mardi 12 avril, Alassane Ouattara pour le féliciter de sa prise de fonctions « en tant que président démocratiquement élu de la Côte d'Ivoire » et l'a assuré de son soutien.