• Pierre-Marie B. / site Allain jules

    Basiquement, et en très résumé, il y a les « faucons » et les « réalistes ». Les premiers, partisans de la guerre à outrance, donnent des ordres que les seconds s’évertuent à saboter. On peut ainsi expliquer les prises de position virulentes que certains membres du haut commandement prennent une fois arrivés à la retraite (qu’ils prennent souvent par anticipation), tels Wesley Clark par exemple. Cette tension entre faucons et réalistes va un jour éclater et une partie des forces armées américaines fera sécession contre l’autre.

    En ce qui concerne la Libye, du point de vue de l’armée des Etats-Unis, les faucons ont voulu la guerre, et comme nous l’apprend ce vétéran, les réalistes freinent des quatre fers pour ne pas y aller – ne sachant que trop bien (voir l’Irak et l’Afghanistan) à quoi ressemble un théâtre d’opérations quand la population ne soutient pas l’occupation militaire.

    ______________________________________________________________

    ________________________________________________________________________________

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

  • Pragmatique, l’Occident semble prêt à traiter avec les islamistes non violents après la chute des dictatures égyptienne et tunisienne.

    ________________________________

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks




    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique