• USA- Séduction à l’égard des Européens - Retour en arrière

    Récemment, le 16 mars 2009, nous découvrions avec surprise ces lignes dans la presse polonaise :

    « La coopération entre Moscou et Washington sur le problème nucléaire iranien pourrait rendre inutile le déploiement d’éléments du bouclier antimissile américain en Pologne, a estimé Zbigniew Brzezinski, ex-conseiller à la Sécurité du président américain, dans une interview au journal polonais Gazeta Wyborcza.

    LIESLI

    Sitôt Obama élu, l’un des premiers mots d’ordre a été : il faut resserrer les rangs des alliés autour du nouveau président. L’on vous présente un président qui n’est pas de droite, ni un néo-conservateur, mais un démagogue de gauche qui promet le changement et l’espérance, et qui, en réalité, répétons-le, représente des politiques plus destructrices que celles de Bush.

    Cette phase de SEDUCTION devrait durer tant que la nouvelle architecture financière internationale ne sera pas assise au profit exclusif du cartel bancaire. Durant tout ce temps-là, LIESI estime que l’équipe Obama pourrait garder cette attitude pacifiste ; mais cela n’est pas garanti à cent pour cent, car les initiés sont confrontés à un autre problème… la réalisation du contenu du « troisième secret » de Fatima, connu d’eux pour des raisons que nous mettrons prochainement en évidence.

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    Pour  M. Brzezinski:  ‘‘Il n’est pas à exclure qu’à l’issue des négociations entre les Etats-Unis et la Russie et suite aux pressions contre l’Iran, une nouvelle situation apparaisse et que la nécessité du déploiement du bouclier antimissile diminue ou même disparaisse complètement’’ ».

    Quelques jours avant, la presse américaine rapportait que B. Obama avait envoyé une lettre secrète au président russe Dmitri Medvedev, disant être prêt à renoncer au déploiement de l’ABM en Europe en échange de l’aide de la Russie au règlement du problème nucléaire iranien.

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     Utiliser les Etats européens comme pions de l’establishment américain

    Pour le moment, l’establishment qui impose ses décisions par l’intermédiaire de ses hommes d’influence du C.F.R. et de la Commission Trilatérale, a clairement l’intention d’encadrer les Européens dans un projet belliciste que ces derniers ne semblent même pas voir venir. [Ce qui s'est aujourd'hui produit avec la Libye en est la démonstration aveuglante.]

    Lors du sommet des 3 et 4 avril 2009 à Strasbourg, la France a donc réintégré l’OTAN, ce que LIESI annonçait depuis pas mal de temps avec l’arrivée au pouvoir de N. Sarkozy. Rappelons que plusieurs dispositions du Traité de Lisbonne, défendu bec et ongle par N. Sarkozy et ses suiveurs contre le bien commun des peuples européens, exigent que la future défense européenne soit « compatible » avec l’OTAN.

    Avec l’intégration de la France à l’OTAN, nous avons la preuve qu’une large élite politique française a fait le choix d’un alignement systématique sur les Etats-Unis.

    Ce, alors que les Etats-Unis connaissent un effondrement sans commune mesure aux yeux du monde entier. Cette élite française semble représenter ce qu’un proche de la présidence gaulliste appelait : « le parti de l’étranger ». Les gaullistes d’hier ont bien vite oublié l’objectif de leur ancien chef de file : « Je veux l’Europe pour qu’elle soit européenne, c’est-à-dire qu’elle ne soit pas américaine ».

     

    Dans l’hypothèse – qui est la nôtre – où les membres de l’establishment prévoient de déclencher un autre conflit mondial, l’intégration de la France dans l’OTAN était une étape nécessaire. Pourquoi de Gaulle ne voulait-il pas de l’intégration de la France dans cette pièce maîtresse du groupe anglo-hollandais qu’est l’OTAN ?

    Il voulait empêcher toute possibilité d’engagement automatique des forces françaises sans décision politique nationale préalable. Comme l’exprime à juste titre P. de Villiers : « Ce principe est plus capital que jamais dans notre monde multipolaire avec une Otan très élargie et aux missions floues. […] Rallier le statut d’intégré au sein d’une organisation qui reste fondamentalement une machine américaine signifie, aujourd’hui comme hier, que nous serons amenés, volens nolens, à suivre les Etats-Unis  sur des théâtres d’opération extérieurs qu’ils détermineront et que nous ne pourrons pas nous désolidariser d’alliés habitués au suivisme ».

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    Le plan de Z. Brzezinski et des marionnettistes de Barack Obama

     

    Pour LIESI, il n’y a aucun doute : ceux qui chaperonnent Z. Brzezinski ont, du point de vue géostratégique, un plan bien précis. Et l’intégration de la France dans l’OTAN en fait partie. Comme la prétendue élite européenne cherche des intérêts à court terme et s’illusionne sur les atouts du projet de Nouvel Ordre Mondial du cartel bancaire, elle nous conduit directement à une catastrophe effrayante, annoncée d’ailleurs par de nombreuses prophéties sérieuses.

    Les analystes, sans parler des politiciens qui cherchent à tirer des avantages personnels de cette crise orchestrée, semblent ne pas voir que le cartel bancaire chapeauté par le « Comité X » a l’intention de se servir des pays européens comme de pions, d’actifs que l’on peut sacrifier en vue du plan[4] défini il y a plus d’un siècle par Mazzini et Albert Pike, le pontife du rite palladique luciférien.

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    Quel est donc ce projet ?

    Cette fois, l’objectif n’est pas de s’en prendre à des Etats faibles comme l’était l’Irak, par exemple, mais à des puissances nucléaires. Selon Webster G. Tarpley, le plan de l’administration Obama visera à étendre le théâtre de la guerre bien au-delà du Moyen-Orient. En effet, « pour Brzezinski, le centre de la puissance dans le monde n’est pas en Iran, mais à Moscou et à Pékin. Il est déterminé à écraser la Russie et la Chine dans un avenir proche, afin de perpétuer la domination des Etats-Unis et du Royaume-Uni pour un autre siècle ».

     

    Comme en matière de politique étrangère les patrons de Z. Brzezinski recherchent la confrontation avec la Russie et la Chine, une entente avec l’Iran est désirée par l’administration Obama. Voilà pourquoi, durant la campagne présidentielle, Z. Brzezinski affirmait :

    « Je ne veux pas faire une guerre américaine contre l’Iran, je veux que l’Iran entre en guerre avec la Russie ! Revoyons la situation et utilisons l’Iran comme un pion à jouer contre la Russie. Je peux vous montrer comment faire… J’ai joué l’Afghanistan contre l’Union soviétique et j’ai détruit l’URSS ».

    Dès lors, l’administration Obama devrait s’opposer à la politique étrangère engagée par les néo-conservateurs de Bush à l’égard de la Syrie. Pour Brzezinski, la diplomatie de la nouvelle administration américaine doit pratiquer un véritable revirement et « discuter » avec Damas.

    Pourquoi ? Webster G. Tarpley explique qu’il y a une très importante base navale russe à Tartous, en Méditerranée. L’équipe de la branche Rockefeller veut déloger les Russes de Tartous et, si possible, que la Syrie se tourne contre la Russie.

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    note

    S'il fut facile d'amener comme un gamin drogué au MacDo, "la France" dans le jeu américain,

    notre ami Brzezinski s'est trompé sur l'Iran, cette dernière ayant un pied dans l'OCS et vu les circonstances actuelles, on peut dire, sans que cela soit officiel que l'Iran a les deux pieds dans cette dernière.

    Pour la Syrie, encore mieux, l'illusioniste Brzezinski a fait plouf!

     

    Vilistia.

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    « Un islam occidentalo-compatibleTurquie- Syrie - presse turque du lundi 21 novembre 2011 »
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