• 4 nouvelles nominations de Responsables de l'UPR

    4 nouvelles nominations de Responsables de l'UPR

    May 28 2013
    Des nouvelles nominations de Responsables de l'UPR



    1- Pierre TRIBOUILLARD est nommé Délégué Régional de l'UPR en région Ile de France 

    Pierre Tribouillard, qui était jusqu'à présent Délégué départemental de Seine-et-Marne, est nommé Délégué Régional de l'UPR pour la région Ile de France.


    Dans ses nouvelles fonctions, Pierre Tribouillard aura notamment pour tâche :

    • de compléter le maillage de la région Ile de France en responsables départementaux,
    • d'agir comme soutien et conseil des Délégués départementaux,
    • de fixer le calendrier des actions militantes dans les différents départements et de les coordonner,
    • de servir d'interface avec le Bureau National.


    Nous republions ci-après la biographie de Pierre Tribouillard, telle qu'il l'avait rédigée lors de sa prise de fonctions de Délégué de Seine-et-Marne.

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    J'ai vécu en Seine et Marne depuis mon plus jeune âge.

    A vingt-cinq ans, me voici devenu instituteur d'une des écoles de mon département. En termes administratifs contemporains, je devrais dire "professeur des écoles" mais je préfère le titre d'instituteur car il me fait davantage penser à ce qui a été l'un des plus grands acquis de la République : l'enseignement laïc et gratuit pour tous, garçons et filles, riches et pauvres.

    Bien que mon métier ne m'empêche nullement de m'adonner à de nombreux loisirs - dessin, peinture, musique, sports, mais encore jeux de stratégie militaire variés -, je lui accorde néanmoins une très grande importance. Malgré les difficultés du métier et le découragement de certains collègues, l'instruction ambitieuse de tous les enfants est pour moi une passion.

    Je suis d'une génération qui n'a jamais entendu dans les médias parler d'autre chose que de la crise et de la nullité supposée de la France et des Français. Comme je ne me reconnaissais dans aucun parti politique, puisqu'ils semblent tous s'accommoder de gérer le déclin et le démantèlement de mon pays, je me suis vite engagé dans le syndicalisme, en pensant que l'on s'y battait pour de bon. Je n'y ai découvert hélas que l'inefficacité de la lutte syndicale actuelle contre les reculs sociaux. Alors que de déceptions et de perte de temps !

    Aujourd'hui, avec du recul, de la réflexion, l'étude de l'Histoire, j'assume un engagement bien mûri : j'ai rejoint l'UPR. C'est un mouvement jeune et lucide, qui refuse à la fois l'extrémisme des uns et la roublardise politicarde des autres, et dont les analyses vont au fond des choses sur les raisons du déclin de la France et de sa démocratie.

    Je compte bien contribuer à faire sortir la France de la "construction" européenne, cause première de l'inacceptable dynamique de destruction nationale et de régression sociale due au libre-échangisme "made in USA". Par là-même, je souhaite participer au rétablissement de la République et de la démocratie en France, que, compte-tenu de mon jeune âge et des règles de fonctionnement de l'Union européenne, je n'ai jamais connues.


    Voila le sens de mon engagement dans l'Union Populaire Républicaine. Je l'estime aussi noble, crucial et courageux que mon métier d'instituteur.

    Pierre TRIBOUILLARD

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    2- Nicolas MARTIN est nommé Délégué Régional de l'UPR en région Rhône-Alpes

    Nicolas Martin, qui était jusqu'à présent Délégué départemental du Rhône, est nommé Délégué Régional de l'UPR pour la région Rhône-Alpes.

    Dans ses nouvelles fonctions, Nicolas Martin aura notamment pour tâche :

    • de compléter le maillage de la région Rhône-Alpes en responsables départementaux,
    • d'agir comme soutien et conseil des Délégués départementaux,
    • de fixer le calendrier des actions militantes dans les différents départements et de les coordonner,
    • de servir d'interface avec le Bureau National.


    Nous republions ci-après la biographie de Nicolas Martin, telle qu'il l'avait rédigée lors de sa prise de fonctions de Délégué du Rhône.

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    Je suis Lyonnais, né en 1974, musicien intervenant en écoles élémentaires, et clarinettiste. Ma compagne est institutrice.

    Nous avons beaucoup voyagé : à travers l'Europe, en Chine, au Mexique, au Canada, en Afrique du sud, etc.. Nous avons deux enfants.

    Je fais des montages audio (musiques et créations radiophoniques). Je suis sensible à l’humour des films de Blier, de Dupontel et de Kusturica. J'ai longtemps fait de l'animation pour les enfants et les ados ainsi que de la formation BAFA pour de jeunes adultes. Je me déplace souvent en vélo et suis un campeur enthousiaste.

    Je suis culturellement de gauche et je m'intéresse sérieusement aux idées de la décroissance.

    Pourquoi ai-je adhéré à l’UPR en mai 2010 ? Et pourquoi j'ai décidé de m'y engager politiquement de plus en plus ?

    Pour cinq raisons principales :

    La première est liée bizarrement à une pub assez minable de Fanta, dont le message consistait à inviter le consommateur à ne pas se prendre au sérieux. Voilà bien, à mon avis, un slogan à l'image de l'abrutissement médiatique, éducatif, politique et culturel dans lequel nos enfants et nous-mêmes baignons quotidiennement.

    Ce slogan me donne envie de faire le contraire. Car de mon point de vue, il est au contraire urgent que chacun se prenne vite au sérieux, en s'informant consciemment.

    Deuxième raison ? L'accès à l'information d'Internet. Grâce à elle, notre compréhension du monde devient un peu plus fine, on critique plus facilement, on fulmine dans son coin et l'on se scandalise à tout va. Mais au final, ça ne sert pas à grand chose à part s'époumoner. C'est pourquoi je pense qu'il doit arriver un jour où l'on se décide, enfin sérieusement, à se bouger : en écrivant, en se syndicalisant, en militant, en s'engageant...

    La première raison et la deuxième sont donc des prises de conscience d'une sorte d'endormissement et d'un besoin vital de se réveiller.

    Chacun a son propre idéal de société. Aujourd'hui, le mien est inapplicable. En faire la promotion ne serait que de l'esthétisme inutile. Car sans l'essentiel – c'est à dire le pouvoir démocratique – on ne peut décider de rien, et encore moins espérer faire appliquer quoi que ce soit. Alors, j'ai décidé de militer prioritairement pour la récupération de ce pouvoir. Pour qu'ensuite, je puisse m’engager en faveur de positions politiques plus personnelles. Tout cela me semble très logique. C'est la troisième raison de mon engagement : le pragmatisme.

    En quatre, c'est l'alliance provisoire entre des personnes venant de différents horizons politiques qui me plait : de gauche, des verts, du centre, de droite. Je nous trouve assez « modernes » dans cette posture. Voilà le véritable progressisme de notre époque, c'est cela la quatrième raison qui me pousse à m'engager.

    À une période ou Stéphane Hessel est particulièrement médiatisé, j'apprécie l'analogie entre l'UPR et le Conseil National de la Résistance qui lui aussi, rassembla en son temps, des gens provenant de différents horizons pour mettre sur pied un programme commun.

    En réaction à la chanson « Hexagone » de Renaud et à certains raps beuglants de Sniper, j'ose annoncer cette vérité - devenue sacrilège en France - que le respect des autres commence par le respect de son propre pays et des intelligences de son propre passé. Comme s'en sont rendu compte tous ceux qui, comme ma compagne et moi-même, ont eu la chance de voyager, c'est une démarche tout a fait normale et, à vrai dire, plutôt saine.

    Je suis donc pour un patriotisme ouvert, à des années-lumière du chauvinisme débile, du repli sur soi irréel, et bien entendu du racisme. C'est la cinquième raison.

    Cette sobre fierté, après tout, ne doit pas être réservée uniquement à la victoire française lors de la coupe du monde de foot en 1998 ou au refus de Villepin d’engager la France dans la guerre d’Irak en 2003.

    Juste un peu de bon sens et un peu de courage.

    Nicolas MARTIN

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    3- Jacques GUYOMAR est nommé Délégué Régional de l'UPR en région Languedoc-Roussillon 


    Jacques Guyomar, qui était jusqu'à présent Délégué départemental du Gard, est nommé Délégué Régional de l'UPR pour la région Languedoc-Roussillon. Le nouveau Délégué départemental du Gard sera nommé dans les prochains jours.

    Dans ses nouvelles fonctions, Jacques Guyomar aura notamment pour tâche :

    • de compléter le maillage de la région Languedoc-Roussillon en responsables départementaux,
    • d'agir comme soutien et conseil des Délégués départementaux,
    • de fixer le calendrier des actions militantes dans les différents départements et de les coordonner,
    • de servir d'interface avec le Bureau National.


    Nous republions ci-après la biographie de Jacques Guyomar, telle qu'il l'avait rédigée lors de sa prise de fonctions de Délégué du Gard.


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    D'origine bretonne, né dans le 14ème arrondissement de Paris (« l'arrondissement breton » de la capitale), je me suis installé dans le Gard, que j'apprécie beaucoup. J'y ai exercé des métiers variés : responsable technique dans le logement social, formateur dans les métiers du bâtiment, et dessinateur-métreur.

    Amoureux de la nature, des sports de plein air, et de la mer, j'ai été aussi skipper et moniteur de voile.

    Mes affinités politiques se portent elles aussi, de préférence, vers les questions sociales et environnementales. Je souhaite une politique de développement économique dans le respect de l'homme et des ressources naturelles.Plutôt qu'un asservissement de l'homme par les banques, les spéculations boursières d'actionnaires et des industries qui s'emparent sans scrupules de nos ressources et de nos richesses.

    Alors pourquoi rejoindre l'UPR ? Comme tant d'autres, de toutes régions de France, et d'horizons divers, permettez moi de répondre par quelques questions :

    Quand on constate que tout va mal, que l'on va à la dérive et que le bateau prend l'eau de tous bords, est-il sain, légitime, et intelligent de se poser quelques questions ?
    Est-il utile de comprendre les origines et les causes de cette tempête, de ce tsunami qui déferle sur nos paysages et sur nos vies ?.
    Est-il raisonnable et responsable de changer de cap, lorsque on s'aperçoit que sa route est mauvaise, et que l'on peut prendre une autre direction ?

    On nous a « vendu » l' UE avec un grand « U », sur un plateau d'argent, comme symbole de développement et de puissance économique, social, de justice et de paix. Quel beau projet séduisant en effet ! Mais, les années passant, qu'en est-il vraiment ? Justement le contraire !

    Comme beaucoup de Français, j'assiste et je subis depuis quelques décennies, en spectateur « impuissant », à cette dégradation permanente, qui lamine la population : chômage, précarité, baisse du pouvoir d'achat, démantèlement de nos services publics, délocalisations, désindustrialisation, abandon de nos productions agricoles, viticoles, et artisanales, abandon de la pêche, perte de nos savoir faire, réduction des budgets de la recherche et de l'innovation, etc., etc.

    Devons nous faire preuve de résignation et évoquer sans cesse la fatalité ? Devons nous accepter l'idée que nous sommes des nuls, que l'on ne peut plus rien faire, qu'il ne reste qu'à baisser les bras, et jeter l'éponge par-dessus bord... pour couler ? Non, ces idées ne sont pas les miennes.

    Alors oui, je réitère ma question : est-il sain, légitime, et intelligent de se poser quelques questions et de chercher à comprendre les véritables causes pour sortir enfin de cette impasse?

    Les analyses de L'UPR le permettent. Je vous encourage à nous rejoindre dans cette démarche. Nous devons reprendre notre liberté politique, nos pouvoirs de décisions entièrement confisqués, et sortir de cette « Union » anti démocratique, sous domination américaine.

    Nos enfants méritent bien cela.

    Jacques GUYOMAR

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    4- Gildas JOLY est nommé Délégué départemental adjoint de l'UPR dans l'Yonne (89) 

    Né à Nantes en août 1974 dans une famille de classe moyenne, je suis l'ainé d'une fratrie de 4 enfants.

    J'ai passé toute mon enfance dans ce pays nantais et je me souviens très bien de ce cours d'Histoire de 3ème où le professeur, lors d'un aparté, mit en lumière l'américanisation insidieuse que nous subissions quotidiennement au travers des médias, et notamment de la télévision...

    Cette prise de conscience de la façon dont j'étais manipulé et formaté à mon insu engendra chez moi une vive réaction qui m'amena à me demander pourquoi les États-Unis, qui jusqu'à présent me semblaient bienveillants, voulaient nous imposer leur vision du monde.

    En ayant à l'esprit que « l'Histoire est écrite par les vainqueurs », je recherchai les réponses à mes questions dans différents supports qui auraient pu m'éclairer. Je découvris alors ce qu'étaient la France et l'esprit français. Et je réalisai que, malgré des heures sombres, nous pouvions, dans l'ensemble, être fiers de notre histoire et de vos valeurs.

    Bien qu'ayant essayé d'éveiller les consciences autour de moi, force était de constater que Mark Twain avait raison sur un point : « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu'ils ont été trompés. »

    Dès lors, je me suis demandé comment être utile à notre pays. Et c'est comme une évidence que je me suis engagé au 3e Régiment d'Infanterie de Marine (RIMA) de Vannes en 1994.

    Cela me permit de voir du pays, comme on dit, et de constater qu'aux yeux des autres peuples et cultures du monde, être Français devait être une fierté.

    Bien que promis à une carrière honorable, je pris conscience que ce n'était pas par le biais de cette institution militaire que je pouvais faire changer les choses. Et je repris une nouvelle voie pour m'intéresser à la politique.

    Seulement, aucun parti ne m'a attiré car les intérêts personnels primaient sur l'intérêt collectif et pour moi, ce n'est pas digne de dirigeants politiques.

    J'ai continué à chercher, longtemps, avant de tomber, par hasard, sur la magnifique conférence de François Asselineau traitant de l'Histoire de France.

    De là, je me suis renseigné sur l'UPR, j'en ai suivi les interventions quelques mois durant, avant d'adhérer pour la première fois à un parti politique.

    Et depuis, je milite activement pour le faire connaître, pour que les Français comprennent ce qui se passe, et qu'ils réagissent enfin.

    Car comme De Gaulle l'a dit : « Quoiqu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas ! »

    Gildas JOLY


     

    « Comment le fasciste Hollande a Augmenté la Retraite De Son Ami faux cul Bartolone et va Baisser la votreGuaino veut nous refiler le jumeau du fasciste Hollande ...Sarkozy le hun »
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