Des forces britanniques en Syrie, on dit aussi que le bastion présidentiel d’Assad subirait une attaque.

 

 De premiers rapports non-confirmés en provenance de sources britanniques, françaises et turques ont affirmé que des forces des opérations spéciales britanniques ont traversé la frontière de la Turquie en direction du nord de la Syrie, mardi 26 juin, et qu’elles se seraient avancées de dix kilomètres à l’intérieur du pays.

Les mêmes sources rapportent que de lourds combats se déroulent autour du bastion de la garde présidentielle, dans les faubourgs de Damas.

 

Les sources militaires de Debkafile rappellent que ce bastion a été créé pour défendre le palais présidentiel de Bachar Al Assad sur le Mont Qaisoun surplombant Damas.

 

 

Des chaînes de TV britanniques et du Golfe diffusent à nouveau des interviews de dizaines de soldats syriens faits prisonniers par les forces rebelles et transférés vers les centres de l’Armée Syrienne Libre, dans le Sud de la Turquie.

Mais cette fois, ces reportages sont diffusés en lien avec ces deux nouvelles évolutions, indiquant le tournant d’une action militaire coordonnée à l’intérieur du pays assiégé, voire même le début d’une intervention contre le régime d’Assad

• [à laquelle s'oppose fermement Barack Obama, faisant peser le maintien de Bachar Al Assad au pouvoir dans le cadre des négociations nucléaires avec l'Iran.

• En ce sens, Erdogan a subi une rebuffade de la part de la Maison Blanche, lorsqu'il a argué de l'opportunité de lancer une opération massive, menée par les Etats-Unis, pour punir la Syrie, qui a abattu un de ses avions F-4].

 

Plus tard, dans la journée de mardi, des sources militaires du Golfe ont confirmé la présence de forces spéciales britanniques en Syrie.

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• Nos sources militaires estiment que si l’incursion militaire britannique était confirmée, elle serait conçue pour établir une première zone de sécurité le long de la frontière turco-syrienne, puis être suivie de nouvelles incursions militaires occidentales, afin d’établir des zones d’accueil sûres supplémentaires dans d’autres parties de la Syrie.

 

• Le déploiement de ces actions à suivre dépendrait essentiellement des répliques syriennes, russes et iraniennes (+ Hezbollah) à ce stade initial de l’opération.
  

 

Si ce rapport sur une incursion britannique se confirmait, elle intervient à la fin de  la visite de 24h du Président russe Vladimir Poutine en Israël, mardi matin et elle se présenterait comme un défi direct à ses avertissements répétés que Moscou ne tolérerait pas une intervention militaire occidentale en Syrie et qu’il ferait tout pour l’empêcher.

Des mises en garde identiques ont été diffusées à Téhéran.

 

Tout comme en ce qui concerne son timing, la double escapade militaire contre Assad intervient également quelques heures avant la “consultation” de l’OTAN à Bruxelles, au sujet de l’avion de chasse turc abattu par la Syrie, vendredi dernier 22 juin, qu’Ankara a déclaré lundi, « qu’il ne resterait pas impuni ».

 

Cette opération à deux-volets – l’incursion britannique rapportée et des affrontements majeurs sur les arrières du palais présidentiel d’Assad – apparaîtrait conçue pour approfondir les fissures dans les fondations de son régime et pour accélérer un effondrement final.

 

 

Elle s'attèle essentiellement à deux tâches :

• aider les groupes rebelles, y compris l'Armée Syrienne Libre, à étendre leur contrôle sur le territoire de la Province d'Idlib au nord de la Frontière syrienne avec la Turquie et le Liban et leur apporter un équipement de haute technologie en matière de communications qui leur fait cruellement défaut. 

• Ces troupes d'élite ont aussi permis au premier dirigeant de l'opposition syrienne, Burham Galioun, du Conseil National Syrien, de mettre un pied en Syrie.

Sous bonne garde, Galioun a pu faire la tournée des villages locaux contrôlés par la rebellion autour d'Idlib, durant quelques heures, avant de traverser la frontière vers le Liban dans l'autre sens. Les lourdes forces d'Assad se sont avérées impuissantes à l'en empêcher.

Nos sources militaires notent la similitude de cette méthode opérationnelle avec la tactique employée par les forces spéciales britanniques en Libye, au début de 2011, lorsqu'ils ont installé leur succursale dans le centre rebelle de Benghazi, afin d'organiser la résistance contre le régime Khadafi. 

 

http://www.debka.com/article/22133/British-forces-in-Syria-Assad-presidential-compound-said-under-attack

 

DEBKAfile Reportage exclusif 26 juin 2012, 11:59 AM (GMT+02:00) 

 

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ALERTE - Ghalioun, l'un des principaux opposants, dit s'être rendu en Syrie

 

BEYROUTH - Burhan Ghalioun, une figure majeure de l'opposition syrienne, a affirmé à l'AFP s'être rendu mardi en Syrie pendant quelques heures, sa première visite au pays depuis plus de deux ans, où il a eu des discussions avec les révolutionnaires.

M. Ghalioun, membre du bureau politique du Conseil national syrien (CNS), la principale coalition de l'opposition dont il a été président, a ajouté que sa visite avait constitué un appui moral aux rebelles, dans une déclaration par téléphone depuis la Turquie, juste après sa sortie du territoire syrien.


(©AFP / 26 juin 2012 20h29)

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 http://liesidotorg.wordpress.com/2012/06/26/guerre-ou-intox/

Guerre ou Intox ?

Par Menthalo - Les forces spéciales Britanniques auraient attaqué en force en Syrie ce mardi 26. Une force d’invasion aurait pénétré par la Turquie dans le Nord de la Syrie.

Les mêmes sources Britanniques, Françaises et Turques de Debka rapportent de lourds combats contre les forces de la Garde présidentielle dans les faubourgs de Damas. Des sources en provenance du Golfe persique auraient confirmé cette présence militaire britannique en Syrie.

Les télévisions britanniques et du Golfe, d’après Debka, passeraient des interviews de soldats syriens faits prisonniers, au cours de ces différentes batailles.

Poutine était ce matin même en Israël pour ré-affirmer le fait que Moscou ne tolérera pas une intervention militaire occidentale en Syrie.

Pendant ce temps-là, la Turquie fait des moulinets de sabre en disant que son chasseur abattu par les forces syriennes ne restera pas impuni. 

Quelques jours après la révélation par Thierry Meyssan des plans de l’OTAN pour une “Opération d’intoxication” en Syrie, avec de fausses vidéos tournées en studio ou dans le Golfe pour abuser le peuple syrien et faire croire à une fuite de Assad, je reste extrêmement circonspect.

NB. DEBKA est un organe de presse 100% sioniste.

Ras le bol de ces fachos de l’OTAN, qui veulent mettre en place “la mission anglo-saxonne“.

Vous aurez compris qu’avec l’effondrement du système, ces fous-furieux veulent mettre en place leur Armageddon. Au moment où tout s’écroule, il devient urgent de faire monter la tension internationale.

Je salue François Hollande qui a retiré les forces françaises de l’OTAN. Est-ce déjà trop tard ?

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 La Turquie déploie des chars près de la frontière syrienne sur le jet d'Downing: Rapport

 

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Syrie: inspiré par Ankara, le CNS demande des armes

 

 

 

ISTANBUL, 27 juin - RIA Novosti

 

Les très vives déclarations du premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan contre le régime de Bachar el-Assad ont encouragé l'opposition le Conseil national syrien (CNS) basé à Istanbul à réclamer des armes, écrit mercredi la presse turque.

 

"Tout dépend de nous, il suffit de nous fournir des moyens de défense. (…) Nous sommes prêts à lutter contre les soldats d'Assad, mais nous sommes en manque d'armes", a déclaré Khaled Khodja, représentant du CNS cité par le quotidien turc Cumhuriyet.

 

Pour acquérir un caractère organisé, l'Armée syrienne libre (branche militaire de l'opposition) a besoin de systèmes de défense antiaérienne et antichar ainsi que de moyens de communication modernes, a-t-il poursuivi. 

 

"L'Arabie saoudite et le Qatar accordent une assistance à travers le territoire libanais. Mais nous ne pouvons pas introduire d'armes à travers la frontière turque, pas même des téléphones portables. Les propos du premier ministre turc nous ont beaucoup inspirés", a poursuivi le militant de l'opposition anti-Assad.

 

Recep Tayyip Erdogan a réaffirmé mardi devant le parlement que l'avion d'attaque turc avait été détruit dans l'espace aérien international et non au-dessus de la Syrie. Il a en outre accusé Damas d'avoir déformé les faits autour de l'incident du chasseur et qualifié le gouvernement d'Assad d'"illégitime".

 

Vendredi dernier, un avion de reconnaissance turc RF-4E a disparu des écrans radars une heure et demie après avoir décollé de la base d'Erhac, dans le sud-est de la Turquie. La Syrie a déclaré avoir abattu l'avion dans son espace national. En effet, l'épave de l'appareil a été localisée dimanche dans les eaux territoriales syriennes, à 1.300 mètres de profondeur.

 

Ankara affirme pour sa part que le chasseur a été détruit alors qu'il effectuait un test sur un radar turc.

 

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Syrie, les options de la guerre

http://vilistia.com/?p=11400

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RT. l'affaire du Phantom Turc S/T- vidéo fr

 

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