• DOSSIER Film polémique Musulmans - Film islamophobe et le Moyen orient analystes vidéo

    Dossier Film Musulman

    Film islamophobe et le Moyen orient analystes
    Randy Short de washington
    Mohammad Saeed Bahmanpour


    13/09/2012

    Libye : l'ambassadeur américain aurait été sodomisé avant d'être tué

    Selon le service de nouvelles libanais Tayyar.org, citant des sources de l’AFP, l’ambassadeur américain en Libye Christopher Stevens aurait été sodomisé avant d'être abattu par les hommes qui ont attaqué le consulat américain de Benghazi mardi.

    Voici une traduction Google du rapport :

     Cliquez pour agrandir

    Libye-agence-libanaise
    L’ambassadeur américain en Libye Christopher Stevens et trois Américains ont été tués lors d'une attaque dans la nuit de mardi le 12 septembre 2012 au consulat américain de Benghazi, a également annoncé mercredi un haut responsable du ministère de l'Intérieur libyen à l'AFP. Les sources ont indiqué que « l’ambassadeur a été tué et son cadavre a été profané d’une manière similaire à ce qui s’est passé quand Kadhafi a été tué ». [   ]

    Le Libyan Free Press rapporte également que l’ambassadeur Stevens a été sodomisé avant d’être tué :

    « Libye – l’ambassadeur américain à Benghazi a été sodomisé et exécuté par ses propres marionnettes d’Al-Qaïda »



    12/09/2012

     USA : l'armée exhorte le pasteur Terry Jones à se conformer à la charia

    L'armée demande à un citoyen américain de renoncer à ses droits constitutionnels en vertu du Premier amendement pour apaiser des fanatiques... C'est accorder un véto aux voyous et aux assassins !

    Rageboy

    __________________

     

    Le plus haut responsable militaire américain a téléphoné mercredi au controversé pasteur Terry Jones pour l'exhorter à ne plus soutenir le film qui a suscité des violences en Libye et au Caire ayant conduit à la mort mardi de l'ambassadeur américain en Libye.

    Le long métrage est défendu par le pasteur très controversé Terry Jones, qui s'est attiré de nombreuses critiques par le passé, notamment pour avoir brûlé un exemplaire du Coran et s'être résolument opposé à la construction d'une mosquée près de Ground Zero à New York. Lors d'un court appel téléphonique, le général Martin Dempsey, chef d'état-major interarmées américain, a exprimé ses inquiétudes sur la nature du film, les tensions qu'il a générées et les violences qu'il a provoquées et a demandé à M. (Terry) Jones de penser à retirer son soutien au film, a rapporté dans un email le porte-parole de M. Dempsey, le colonel Dave Lapan.

    Lors de l'attaque du consulat américain perpétrée mardi à Benghazi, dans l'est de la Libye, l'ambassadeur en Libye Chris Stevens et trois autres Américains ont été tués, et cinq autres blessés. Des responsables du Pentagone craignent que le long métrage --également à l'origine de manifestations devant l'ambassade américaine au Caire, où quelques personnes se sont introduites mardi-- n'entraîne également des violences en Afghanistan, menaçant la sécurité des troupes de l'Otan sur place.

    L'innocence des musulmans, de Sam Bacile --un promoteur immobilier californien dont ce n'est pas le vrai nom, selon un collaborateur-- se veut une description de la vie du prophète Mahomet. Des extraits de ce film à petit budget, avec des costumes d'amateurs, un scénario confus et des décors artificiels, ont été postés sur internet ou diffusés sur des chaînes de télévision privées. Des acteurs parlant anglais avec l'accent américain y présentent les musulmans comme immoraux, gratuitement violents et tournent en dérision le prophète Mahomet.

    Le pasteur Jones avait annoncé son intention de diffuser des extraits du film dans son église de Gainesville, en Floride. C'est une production américaine, qui n'a pas pour objectif d'attaquer les musulmans mais de montrer l'idéologie destructive de l'islam, avait-il déclaré dans un communiqué publié par le Wall Street Journal.

    Source : Romandie, 12 septembre 2012


    Le drapeau noir d'Al-Qaïda a été hissé sur l'ambassasde US en Tunisie.



    14/09/2012

    USA : C'est un acte de guerre, pas de la colère contre un film (Mark Steyn)

    Pendant que le monde et les médias sont centrés sur la diversion créée par un film "anti-islam", Mark Steyn rappelle l'essentiel : un acte de guerre a été commis le 11 septembre 2012.

    Chris-stevens

    Abu Yanya al-Libi, membre d'Al-Qaïda, et l'ambassadeur Chris Stevens (via The Independent)

    _______________

    [   ] Hillary Clinton et le Général Martin Dempsey sont coupables d'actes graves : la Secrétaire d’État Hillary Clinton, pour ses remarques bizarrement obsessionnelles sur un obscur film supposément irrespectueux envers Mahomet, et le Chef d'état-major interarmées américain pour son appel téléphonique à un simple citoyen lui demandant s’il-vous-plaît pourriez-vous mettre la pédale douce sur la traditionnelle islamophobie.

    Oubliée, la liberté d’expression. Dans le présent cas, comme le savent très bien la Secrétaire d’État Clinton et le Général Dempsey, le film est encore moins lié aux évènements que ne l’étaient les caricatures danoises, l’ours en peluche de l’enseignante ou l’un quelconque des innombrables griefs de l’islam. Un contingent de 400 hommes s’est pointé à Benghazi avec des armes d’assaut et des mortiers :

    • ce n'était pas une manifestation spontanée contre un film, c’était un acte de guerre, et un acte mieux planifié et mieux exécuté que la réponse de la superpuissance agonisante à cet acte. La Secrétaire d'Etat Clinton et le Général Dempsey cherchent à tromper les Américains, pour employer un euphémisme, quand ils suggèrent le contraire.

    On peut comprendre pourquoi ils agissent ainsi, étant donné le fiasco en Libye. Les hommes qui ont organisé cette attaque savaient que l'ambassadeur serait au consulat à Benghazi et non à l'ambassade américaine à Tripoli. Comment est-ce arrivé ? Ils savaient quand il avait été transféré du consulat à un « lieu sûr » et ont agi en conséquence. Comment est-ce arrivé ?

    Le gouvernement des États-Unis a perdu la trace de son ambassadeur pendant 10 heures. Comment est-ce arrivé ? Peut-être qu’après avoir analysé les communiqués de Mitt Romney pendant encore trois ou quatre semaines, les médias américains, ces courtisans eunuques, daigneront-ils se pencher sur ces questions passionnantes au lieu de laisser la presse étrangère couvrir la seule histoire américaine intéressante pour les reporters.

    Pour une raison quelconque, la Secrétaire d’État Clinton a choisi d’induire le public américain en erreur une deuxième fois. « Les Libyens ont transporté le corps de Chris à l'hôpital », a déclaré Mme Clinton. C'est une façon de voir les choses. Les photographies du réseau Arab TV à al-Mayadeen montrent le corps de Chris Stevens traîné dans les rues pendant que les habitants prennent des photos souvenirs sur leurs téléphones portables.

    Un homme portant une chemise rayée rouge photographie de haut l'ambassadeur aux yeux morts, tandis qu’un autre, placé derrière sa tête, soulève son bras et tient l’appareil photo de son téléphone portable à quelques centimètres du nez de l’ambassadeur. Il y a quelques années, j'ai eu l'occasion d'aider à déplacer le corps d'un homme mort: nous ne nous sommes pas arrêtés en cours de route pour prendre des photos.

    Même en tenant compte des différences culturelles, ceci ressemble davantage à des barbares festoyant joyeusement autour du butin de la sauvagerie qu'à des gens qui « transportent le corps de Chris Stevens à l’hôpital » . [   ]

    S0urce : An act of war, not a movie protest, par Mark Steyn, OC Register, 14 septembre 2012.




    Canada : des hindous organisent une projection publique du film « anti-islam »

    Bravissimo M. Banerjee !

    Canada-banerjee
    ________________

    Affirmant la nécessité de promouvoir la tolérance religieuse au Canada, un groupe hindou canadien est en train d’organiser la projection publique du film parodiant Mahomet, le prophète de l’islam, qui a déclenché des manifestations meurtrières et une colère grandissante à l’étranger.

    «Cela promeut la tolérance des idées et des vues différentes au Canada», a déclaré jeudi Ron Banerjee, président du Canadian Hindu Avocacy. «Cela enseigne la valeur de la tolérance aux musulmans et à la communauté islamique et leur indique qu’au Canada, nous sommes tolérants face à la diversité et qu’eux aussi devront tolérer la diversité des opinions et des idées sans déclencher des émeutes et se déchaîner comme des fous ».

    M. Banerjee a indiqué qu’il travaille en collaboration avec des contacts aux États-Unis, y compris un groupe chrétien copte, pour obtenir la version longue du film « L’Innocence de musulmans », qui durerait deux heures.

    «Nous obtiendrons une copie, c’est le moindre de nos soucis. Notre plus grande préoccupation est de trouver une salle pour la projection et d’assurer la sécurité.»

    M. Banerjee a précisé que la projection du film à Toronto sera un évènement interreligieux et qu’il travaille avec des membres des communautés sikh, juive et chrétienne.

    Maryam Dadabhoy, porte-parole de CAIR-CAN, a dit que la projection du film sera une source inutile d’offense pour les musulmans, qui importera inutilement une controverse ici.

    «Tous ont droit à la liberté d’expression et peuvent montrer les films qu’ils veulent mais il faut aussi respecter les autres», a déclaré Mme Dadabhoy.

    La question des films provocants a une résonance particulière auprès de la communauté hindoue. M. Banerjee déplore le double standard appliqué à la religion hindoue au Canada.

    Il cite l’exemple de la cinéaste Indo-Canadienne Deepa Mehta, célébrée chaque année au Festival international du film de Toronto en dépit des protestations des Hindous sur la manière dont leur culture est représentée dans sa trilogie Fire, Earth et Water. M. Banerjee a indiqué que les plaintes des Hindous contre ces films ont été ignorées.

    «En tant que communauté minoritaire, nous sommes victimisés parce que nous sommes pacifiques : nous ne décapitons personne, nous ne faisons pas sauter des ambassades. Nous en avons marre de cette inversion morale», a-t-il dit. «Pendant ce temps, nous assistons aux réactions horribles, horribles des musulmans et – pire encore – nous voyons les sociétés démocratiques s’incliner devant leur violence et presque s’en excuser.

    Le message semble être : vous avez gagné parce que vous êtes violents. »

    M. Banerjee a annoncé que trois ou quatre organisations aux États-Unis et en Grande-Bretagne planifient également des projections publiques du film.
    Il compte sur la force du nombre. «Nous devons surmonter la peur», a-t-il dit.

    Source : As violent protests spread in Middle East, Canadian Hindu group screening anti-Islam film to make a point about tolerance, par Adrian Humphreys, National Post, 13 septembre 2012.


     La propagande Occidentale Anti-Islam - retour en arrière - vidéo - (15-09-2012)

    Message reçu et voulu par brzezinski zbigniew

    DE PLUS EN PLUS COMIQUE MICKEY
    ___________________________

    TFI Les auteurs du film anti-islam : une association chrétienne et un cinéaste porno  

    Nikoula Basseley Nikoula, le cinéaste porno Alan Roberts, reste à savoir qui manque à l’appel de ceux qui ont insulté la religion musulmane?

    A propos des évènements qui secouent un certain nombre de pays musulmans en relation avec la bande-annonce du film “L’innocence des musulmans”, je ne vais pas discuter de la part qui revient à une colère spontanée et celle qui revient à son exploitation par des forces organisées dont le rôle a été évident à Benghazi.

    J’aimerais cependant à nouveau attirer l’attention sur ce que Benghazi nous dit de la situation en Libye à partir de ces constats simples que:

    1) l’ambassadeur des Etats Unis siégeait toujours dans cette ville et non à Tripoli qui est pourtant la capitale libyenne et,

    2) que les hommes qui ont attaqué l’ambassade étaient bien armés, au point même de déclencher hier des tirs intenses d’artillerie anti-aérienne contre les drones dont Obama a ordonné le déploiement au-dessus de la deuxième ville libyenne.


    Si on s’intéresse au film lui-même, on commence à en savoir plus sur les conditions de sa réalisation. On apprend en effet que

    Le film aurait été réalisé par Alan Roberts, 65 ans, spécialisé dans les films pornographiques et d’action à petit budget comme “La jeune Lady Chatterley II” ou “Karaté Cop”, selon le site web Gawker.

    D’après Gawker qui a interrogé des membres de l’équipe de tournage du film “Innocence of Muslims”, les acteurs affirment avoir été trompés, croyant jouer dans un film de fiction épique, et découvrant ensuite qu’un doublage avait transformé leurs répliques en propagande anti-musulmane.

    Initialement, les rôles principaux attribués par Alan Roberts à ses acteurs s’appelaient George, Condalisa et Hillary, mais la version finale du script les faisaient interpréter le prophète Mahommet et d’autres personnages du Coran.

    Le film a été ensuite promotionné par des coptes par des chrétiens évangéliques antimusulmans de droite, tel Morris Sadek, Egypto-américain, et le pasteur de Floride Terry Jones, connu pour avoir brûlé publiquement des exemplaires du Coran.

    Alan Roberts est donc plutôt spécialisé dans le cinéma pornographique, ce qui en soi ne le disqualifie pas pour tourner un film insultant une religion, que ce soit l’Islam ou une autre confession.

    Apparemment, ni Alan Roberts, ni les comédiens engagés sur le tournage n’avaient conscience de la destination du film dont l’objet initial diffère complètement de ce qui est présenté sur la bande-annonce grossièrement doublée.

    Comme Alan Roberts, certains comédiens venaient du milieu du cinéma pornographique comme Tim Dax et Amina Noir, ce qui a dû rendre plus simple le tournage des scènes de sexe qui figurent dans le film.

    J’allais dire, puisqu’il s’agissait de dénigrer une religion, pourquoi pas?

    Mais, au delà de l’insulte faite à la religion musulmane et à ses adeptes, voire même à tous ceux qui ont du respect pour les croyances religieuses des uns et des autres, ce qui ne va pas c’est que la société chargée de produire le film s’appelle Media For Christ

    Le président de cette association, dédiée à “faire briller la lumière de Jésus” sur le monde, est l’Egyptien de religion copte Joseph Nassrallah Abdelmasih

    En effet, même en admettant qu’une organisation religieuse ait eu l’intention de produire un film portant atteinte à la religion musulmane, ce qui semble par contre inconcevable, c’est qu’elle fasse appel à un réalisateur et à des comédiens venus de l’univers de la pornographie.

    Parce que j’ai de la peine à comprendre Joseph Nasrallah, un proche de l’extrême droite chrétienne, a pu recruter un réalisateur de pornographie pour “faire briller la lumière de jésus”.

    Le milieu du cinéma aux Etats Unis est un vaste monde et il y a fort peu de chances qu’on tombe par hasard sur un réalisateur de films pornographiques sauf si on l’a choisi délibérément, ce que n’aurait bien entendu jamais fait un véritable croyant, chrétien ou autre, surtout s’il vit sa foi de manière militante.

    D’autant que nous avons en fait deux films: un film épique contenant des scènes explicites de sexe et une bande-annonce réalisée en doublant certaines scènes du film.

    On a vu que ces prétendus militants du christianisme sont en fait bien encadrés par des gens qui tout en étant des fanatiques extrémistes gardent la tête froide.

    Si vous voulez comprendre un peu mieux ce qui se passe et qui manque à l’appel, posez-vous cette question toute simple:

    Qui contrôle l’industrie du porno aux Etats Unis?

    M.D


    Sam Bacile, alias Nakoula Basseley Nakoula était un informateur du FBI. Et il avait besoin d’argent.

    The Smoking Gun est un site internet américain spécialisé dans les affaires de justice de droit commun, des arrestations pour excès de vitesse aux malversations financières en passant par les bagarres et les assassinats.

    On trouve notamment sur ce site ce qu’on appelle en anglais des «mug shots»de nombreuses vedettes du show business.

    Les « mug shots » sont les portraits des contrevenants faits par les photographes de la police. On trouve par exemple le portrait de Rick Springfield,Phil Spector, Snoop Dog, ou encore Mel Gibson et Jane Fonda.

    The Smoking Gun a une fiche sur Nakoula Basseley Nakoula puisque ce dernier avait été arrêté dans le cadre d’une enquête sur une fraude bancaire assez importante. Cette fiche est intitulée :

    Le producteur du film islamophobe était une balance du FBI
    L’homme de Los Angeles avait commencé à coopérer avec les procureurs après le démantèlement d’une arnaque bancaire en 2009

    …..

    Nakoula Basseley Nakoula est devenu un informateur du gouvernement après son arrestation en 2009 pour escroquerie bancaire [pour un montant de près de 800 00 dollars], a appris The Smoking Gun.
    Même si de nombreux documents judiciaires relatifs à cette affaire restent sous scellés, la transcription d’un verdict de juin 2010 donne un aperçu de la coopération de Nakoula avec les enquêteurs de Los Angeles (et de la réduction de peine qui en a résulté).

    Sa liberté sous caution ayant été rejetée, Nakoula, un homme marié père de trois enfants, avait été écroué au Metropolitan Detention Center in L.A. C’est alors qu’il commença à coopérer avec les agents fédéraux et la justice.

    Pendant une série de sessions de debriefing, Nakoula avait présenté de manière détaillée l’opération de fraude aux enquêteurs et leur désignant l’homme qui selon lui était à la tête de l’opération, selon les commentaires faits par son avocat lors du prononcé du verdict.

    Nakoula avait identifié le chef du réseau comme étant Eiad Salameh, un escroc bien connu qui est recherché depuis plus d’une dizaine d’années par la police d’Etat et la police fédérale.

    Pendant ses debriefings, Nakoula avait dit avoir été recruté comme complice par Salameh qui avait empoché la plus grande partie de l’argent généré par les fraudes bancaires, selon James Henderson, avocat de Nakoula.

    En plus de faire référence à la lettre du gouvernement – connue comme la lettre 5K1 – Henderson avait dit à Snyder [le juge chargé de l’affaire] que la famille de Nakoula allait souffrir financièrement pendant son emprisonnement dans la mesure où il était le seul à pourvoir aux besoins de la famille.

    Henderson avait aussi signalé que Nakoula souffrait de plusieurs maladies, dont l’hépatite C, «de graves problèmes de diabète» et de la prostate pour laquelle il avait subi une opération. «Il prend dix médicaments en ce moment,» avait ajouté Henderson.

    Le rôle de Nakoula dans l’escroquerie, avait affirmé Henderson, était dû à la nécessité de subvenir aux besoins de sa famille, dont son père très âgé.

    «A l’époque où il a fait ça, il avait perdu son travail d’employé de station service, qui est ce qu’il connaît le mieux dans notre pays,» avait déclaré Henderson qui avait ajouté qu’il travaillait au marché aux puces tous les weekends pour essayer de nourrir sa famille.»

    Comme vous le voyez, on est loin du portrait d’un idéologue et encore moins d’un fondamentaliste religieux. Nous sommes plutôt devant quelqu’un qui a un pressant besoin d’argent et qui ne s’embarrasse pas de scrupules, puisqu’il se livre à des activités délictueuses avant de devenir une «balance » pour la police.

    Surtout qu’aux Etats Unis, quand on a des problèmes de santé chroniques qui nécessitent des soins coûteux, il vaut mieux avoir la bonne couverture sociale qu’offre un emploi stable.

    Or ce n’est pas le cas de Nakoula Basseley Nakoula qui semble vivre d’expédients.

    Alors la question se pose vraiment : qui a financé le film dont a été tiré la bande annonce intitulée «l’innocence des musulmans » ?
    M.D



    Alors que les manifestations anti-américaines se multiplient, les Etats-Unis ne peuvent engager des poursuites contre ceux qui tiennent des propos insultants ou diffamatoires, comme l'auteur du film polémique sur l'Islam, en raison des libertés garanties par la Constitution.

    Le film qui a mis le feu aux poudres dans Le Monde musulman en dénigrant l'Islam et le prophète Mahomet a été tourné aux Etats-Unis et financé par un producteur lié à l'Eglise copte. Celui-ci, identifié comme étant un certain Nakoula Basseley Nakoula, 55 ans, vit en Californie. Son film a également été mis en avant par le pasteur extrémiste Terry Jones.

    Mais les autorités américaines ne peuvent légalement rien faire pour les poursuivre ni pour empêcher leur film d'être diffusé.

    "Je sais que pour certains ce sera dur de comprendre pourquoi les Etats-Unis ne peuvent pas interdire ce type de vidéo répréhensible", a déclaré la secrétaire d'Etat Hillary Clinton.

    "Mais je veux souligner qu'avec les technologies modernes c'est impossible. Et même si ça l'était, notre pays a une longue tradition de liberté d'expression qui est gravée dans notre Constitution et dans nos lois. On ne peut pas empêcher des citoyens d'exprimer leurs points de vue, quand bien même cela ne nous plaît pas", a-t-elle ajouté.

    1er amendement de la Constitution

    Ainsi, même si le film "Innocence of Muslims" ("L'innocence des musulmans"), production amateur à petit budget réalisée avec des doublages grossiers et des fausses barbes, a provoqué par ricochet la mort de plusieurs personnes, dont l'ambassadeur américain en Libye, les autorités américaines ne peuvent pas poursuivre son auteur ou son producteur.

    Eugene Volokh, professeur à l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA), précise que le 1er amendement de la Constitution américaine protège la liberté d'expression pour tous les citoyens.

    "C'est valable pour Salman Rushdie, c'est valable pour les producteurs de la série South Park, et c'est valable pour ces gens", a-t-il dit. "Même défendre la violence est quelque chose qui est protégé. Et en l'occurence il n'est même pas question de violence, c'est juste une parodie et une critique de la religion".

    Ainsi, non seulement Nakoula Basseley Nakoula ne peut pas être poursuivi, mais en outre il bénéficie d'une protection policière dans sa maison de la banlieue sud de Los Angeles.

    Alors que M. Nakoula est retranché chez lui par peur des représailles, Steve Klein, un chrétien évangélique qui avoue avoir travaillé comme consultant sur le film, a de son côté affirmé qu'il ne se sentait pas responsable des morts des quatre Américains tués à Benghazi.

    "Je n'ai pas tué ces gens, ce sont eux (les manifestants violents en Libye) qui ont appuyé sur la gâchette. Ce sont eux qui ont tué l'ambassadeur", a-t-il dit sur la chaîne CNN.

    Voila


    Film raciste : Les provocateurs savent qu'il ne faut pas mélanger politique et religion

    Par Robert Fisk

    The Independent, le 13 septembre 2012,
    article original : The provocateurs know politics and religion don't mix

    Quelques secondes suffisent à deux ou trois tarés pour déclencher une guerre miniature dans le monde musulman


    Un autre de ces gros malins d'Internet met donc le feu au Moyen-Orient : après les caricatures du Prophète, puis l'autodafé du Coran, arrive une vidéo de « terroristes » en djellaba dans un faux désert.

    Ensuite, les auteurs occidentaux et chrétiens vont se cacher (une condition essentielle pour la publicité), tandis que des innocents sont asphyxiés, décapités ou livrés à la mort d'une manière ou d'une autre - la vengeance musulmane outrancière « prouvant » ainsi les affirmations racistes des colporteurs d'âneries, selon lesquelles l'Islam est une religion violente.

    Evidemment, les provocateurs savent que la politique et la religion ne se mélangent pas au Moyen-Orient.

    • Elles sont la même chose. Christopher Stevens, ses collègues diplomates à Benghazi, les prêtres en Turquie et en Afrique, le personnel de l'ONU en Afghanistan ; tous ont payé le prix pour ces « prêtres chrétiens », ces « caricaturistes », ces « réalisateurs de films » et ces « auteurs » - les guillemets étant nécessaires pour marquer la frontière ténue entre illusionnistes et professionnels - qui choisissent en connaissance de cause de provoquer 1,6 milliard de musulmans.


    Lorsqu'un dessin humoristique danois dans un quotidien jusque-là inconnu a tracé le portrait du Prophète Mohammed avec une bombe dans son turban, l'ambassade danoise à Beyrouth a été incendiée.

    Lorsqu'un pasteur texan a décidé de « condamner le Coran à mort », les couteaux sont sortis de leurs fourreaux en Afghanistan - nous laissons de côté les pages du Coran « accidentellement » brûlées par le personnel américain à Bagram. Et maintenant, un film délibérément injurieux provoque le meurtre de l'un des diplomates le plus juste du Département d'Etat.

    De beaucoup de façons, nous sommes en terrain familier. Dans l'Espagne du XVe siècle, les caricaturistes chrétiens dessinaient des illustrations du Prophète commettant des actes inqualifiables. Et - juste au cas où nous penserions avoir les mains propres aujourd'hui -

    lorsqu'un cinéma parisien a passé un film dans lequel le Christ faisait l'amour avec une femme [La Dernière tentation du Christ], la salle de cinéma a été incendiée, un spectateur a été tué et le tueur s'est avéré être chrétien.

    Cependant, avec l'aide de notre nouvelle technologie merveilleuse, deux ou trois tarés suffisent à déclencher en quelques secondes une guerre miniature au Moyen-Orient. Je doute que ce pauvre Christopher Stevens - un homme qui comprenait réellement les Arabes, contrairement à un grand nombre de ses collègues - ait jamais entendu parler de ce « film » qui a déchaîné la prise du consulat étasunien à Benghazi et sa propre mort.

    C'est une chose que de prétendre stupidement que les Etats-Unis partiraient en « croisade » contre al-Qaïda - merci, George W. Bush - mais c'en est une autre que d'insulter, de façon délibérée, tout un peuple. Un racisme de cette sorte rend fou plus d'un coeur passionné.

    Et al-Qaïda - vaincu par les révolutionnaires arabes qui ont exigé la dignité plutôt qu'un califat à la ben Laden dans tout le Moyen-Orient - a-t-il décidé maintenant de profiter des griefs populistes pour faire avancer sa cause islamiste ?

    Le gouvernement libyen en grande partie impuissant fait porter la responsabilité aux Américains eux-mêmes pour la mort de Stevens - puisque le consulat aurait dû être évacué - et il laisse entendre qu'une bande de kadhafistes se trouvait derrière cette attaque. C'est ridicule. Si la milice armée à Benghazi, qui s'autoproclame les « Supporters de la loi islamique », est plus que des bandits armés de téléphones, alors l'implication d'al-Qaïda peut être suspectée.

    L'ironie, c'est qu'il existe un espace pour une discussion sérieuse entre Musulmans à propos, par exemple, d'une réinterprétation du Coran ; mais cette provocation occidentale - et, hélas, elle est occidentale ! - met fin à cet espoir.

    Pendant ce temps, nous revendiquons haut et fort la « liberté de la presse ». Un jour, un rédacteur en chef néo-zélandais m'a annoncé fièrement comment son propre journal avait republié la caricature du Prophète portant une bombe dans son turban.

    Mais lorsque je lui ai demandé s'il prévoyait de publier une caricature d'un Rabbin portant une bombe sur la tête, la prochaine fois qu'Israël envahira le Liban, il a vite convenu avec moi que cela serait antisémite.

    Voilà le hic. Certaines choses dépassent les limites, à juste titre. D'autres n'ont aucune limite du tout. Plusieurs présentateurs radio m'ont demandé hier si les troubles au Caire et à Benghazi pourraient avoir été fixés pour « coïncider avec le 11/9 ». Il ne leur est jamais venu à l'esprit de demander si ces provocateurs au vidéo-clip avaient choisi leur date de diffusion pour coïncider avec le 11/9.

    Traduction [JFG-QuestionsCritiques]
    Nous suivre sur Twitter : @QuestionsCritiq
     
     




    Qui est Sam Bacile? Par Tom Tugend

    Par Tom Tugend

    Suivre JewishJournal.com on   

     http://www.jewishjournal.com/tomstopics/item/who_is_sam_bacile

     Photo

    Extraits de “l’Innocence des Musulmans” sur YouTube.

    Un responsable israélien de haut-rang, présent à Los Angeles, a déclaré aujourd’hui, qu’après de très nombreux recoupements d’enquête, il est apparu que personne, ni au sein de l’industrie du film à Hollywood ni au sein de la communauté juive locale ne connaissait de Sam Bacile, le supposé directeur et rédacteur du film incendiaire : « L’Innocence des Musulmans ».

    Ce responsable a exprimé plus que des doutes qu’une personne portant ce nom existe réellement.

    La branche locale à Los Angeles du Conseil pour les Relations Américano-Islamiques (CAIR) et le Conseil de la Shura Islamique ont tenu, aujourd’hui, une conférence de presse, pour condamner le meurtre de l’Ambassadeur américain en Libye et les attaques contre des installations diplomatiques et les personnes en Libye et en Egypte.

    A Washington, les responsables nationaux du CAIR ont appelé les Musulmans à “ignorer le film anti-islamique nul (trashy) qui a été à l’origine des attaques ».



    SUITE
     
    .Posté par Columbo le 13/09/2012 12:5 - alter info
     
    Le film a été tourné aux Etats Unis à Los Angeles en Août. Studio et emplacements Backlot.
    J'ai en effet cherché sur internet , et les contributeurs ne diront pas le contraire ; je sais comment chercher sur l'internet , je n'ai en effet rien rien trouvé sur ce sam bacile .La clé de l'énigme est steeve klein .Sam bacile est son Botul.

    Ou bien suivre l' enquete de la police et de la presse que je poste dans le commentaire dans l'article des brèves;"Mushammad film Consultant ;"Sam Bacile" n'est pas israélien et pas son vrai nom.

     
    On savait déjà que la promotion du film "L’innocence des musulmans", à l’origine d’une vague de manifestations dans plusieurs pays arabes, était le fruit d’une campagne orchestrée dans le but d'attiser les tensions. En réalité, il se pourrait bien que le fameux long-métrage annoncé n’ait jamais existé et se résume en réalité au seul brûlot de 13 minutes diffusé sur internet.

    De fait, ce jeudi 13 septembre, il était toujours impossible de trouver une seule personne ayant vu le film dans son intégralité. Le réalisateur, un Américain juif nommé Sam Bacile, avait expliqué à la presse que son film n’avait été diffusé qu’une seule fois, dans la salle quasiment déserte d’un obscur cinéma d’Hollywood.

    Une production de 5 millions de dollars
    Mais le cinéaste amateur, de son vrai métier promoteur immobilier, était formel : son "œuvre" était une production bien réelle de 5 millions de dollars, financée par des "donateurs juifs " et ayant nécessité trois mois de tournage et plusieurs dizaines d’acteurs et de techniciens.

    De nombreux internautes s’étaient étonnés de la piètre qualité technique du film au regard de son budget. Différences de son flagrantes en plein milieu d’un dialogue, la quasi-totalité des scènes tournées sur un fond vert mal réalisé… Au vu des images, on a peine à voir où sont passés les 5 millions de dollars.

    Selon plusieurs sources, la réponse serait que le film intégral n’ait tout simplement jamais existé.
    De nombreux observateurs ont en effet repéré que lors des dialogues, extrêmement mal doublés, les voix des acteurs semblent se modifier lorsqu’ils évoquent l’islam. Lorsque l’on se concentre sur les dialogues, on a même l’impression que les propos les plus insultants envers les musulmans ont été enregistrés a posteriori et ajoutés au montage pour remplacer les dialogues originaux (voir des exemples dans la vidéo ci-dessous)

    L'équipe de tournage "trompée"
    La chaîne CNN a retrouvé quelques 80 personnes ayant participé au tournage du film. Or, la totalité d'entre eux affirme avoir été "trompée" par le réalisateur. Le film, qui portait au départ le titre de "Desert Warrior", était censé être "un film d’aventure historique dans le désert arabe". Plus grave, les acteurs confirment que leurs propos ont été modifiés et que le script n’évoquait à aucun moment le prophète de l’Islam.

    Une des actrices, interrogée cette fois par le site Gawker, confirme que toutes les références religieuses ont été rajoutées au moment du doublage. Des accusations avérées par le blog "On the Media" qui s’est penché en détails sur les dialogues du film et ces étranges changements de son.

    Des doutes sont également nés sur l’identité même du réalisateur présumé, Sam Bacile. Le site The Atlantic a réussi a retrouvé Steve Klein, un "consultant" ayant pris une part active dans la production du film.

    Or, ce dernier affirme que Sam Bacile n’est en fait qu’un nom d’emprunt. Klein explique avoir été contacté par téléphone par le mystérieux réalisateur et ne l’avoir jamais rencontré en personne. En revanche, le consultant assume, lui, totalement l’aspect polémique du film. L’homme se vante même d’être un militant anti-islam particulièrement actif.

    Qui se cache derrière "Sam Bacile" ?
    Il se pourrait que le film soit en fait une "œuvre collective". En effet, s’il explique ne pas connaître Sam Bacile, Klein affirme que ce dernier n’est pas juif et que pas moins de 15 personnes ont été impliquées dans la réalisation : "Rien d’autre que des citoyens américains actifs", explique-t-il, avant de préciser. "Certains sont de Syrie, de Turquie, du Pakistan, il y en a qui sont en Egypte. Certains sont coptes, mais la grande majorité sont des évangélistes".

    Une chose est sûre, Sam Bacile n’a aucune existence sur internet ou les réseaux sociaux. CNN, qui, de son côté, a vérifié les registres publics, a également fait chou blanc. Interrogé par la chaîne américaine, le ministère des Affaires étrangères israélien affirme également n’avoir aucune trace de ce Sam Bacile. "Ce type est totalement anonyme", a confirmé Yigal Palmor, le porte-parole du ministère.





    Propos  d'un commentaire anonyme sur le Net



     " L’ambassadeur américain a été sacrifié par son administration, et je dis cela pour 2 raisons :


    1. Qui peut décemment croire qu’on puisse envoyer un ambassadeur dans une telle région du monde sans une garde militaire spéciale ? Vous imaginez Kissinger aller au même endroit avec la même protection dérisoire que Christopher Stevens ?


    2. 2è raison et la plus importante, la consonnance du nom, et oui pour nous Français ça ne veut rien dire, ben sachez que pour les américains c’est un choc, un coup en plein coeur, car les protestants sont comme cela, eux ils étudient la bible et ils vont encore à l’Eglise, :

    • Christopher est un prénom typiquement chrétien qui signifie "porteur de la croix du Christ", quant à Stevens (altération de Stéphane) il a pour équivalent français Etienne dans la bible, Etienne fut le premier martyr lapidé par des Juifs, et sa célèbre phrase :"Pardonne-leur mon Dieu, ils ne savent pas ce qu’ils font".

    De telles références sont lettres mortes pour des Français déchristianisé depuis belle lurette, je puis vous assurez que tout américain de base connait l’histoire du martyr d’Etienne c’est-à-dire Steven pour eux.


    Vous comprenez bien qu’un nom avec une telle consonnance chrétienne c’était fait exprès, exprès aussi de ne pas lui donner une sécurité décente. Ca ne sonne pas pareil si c’est un Brzezinsky ou un Bernanke, ou un Agnew qui se fait descendre.


    Là on voulait sciemment faire comprendre que des "islamistes" ont massacré un CHRETIEN protestant afin que le bon peuple américain soit de nouveau révolté et valide une prochaine guerre ; et tout cela encore un 11 septembre : il faut vraiment être aveugle pour ne pas comprendre cela "

     

    http://www.independent.co.uk/hei-fi/news/killing-of-us-ambassador-is-likely-to-have-been-planned-8139005.html


    « Al-Moussaoui sur la visite du pape : le dialogue entre le Hezbollah et le Vatican date depuis les années quatre-vingt-dixSoutien à la Syrie, son peuple et son Président à Paris 16/09/2012- vidéo »
    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    Tags Tags : , , , ,