• Grèce/créanciers : un couple qui partage le même rêve : il ne peut pas y avoir de faillite

    Selon Josef Ackermann, patron de la Deutsche Bank, un accord est maintenant “très proche” entre le gouvernement grec et les créanciers privés du pays.

    Cette proximité est tout de même définie par quelques jours ou semaines.

    En tout cas, le verdict est connu : les banques vont perdre “70% ou plus” dans l’opération.

    On assure que cette décote de plus de 70% sera considérée comme un signe très positif par les marchés, mais on ajoute dans la foulée que “les modalités de mise en place de cette restructuration semblent très complexes et, au final, elle ne sera sans doute pas suffisante pour écarter un défaut de paiement du pays qui pour l’instant reste toujours insolvable.


    Bref, tout va bien, mais aucune banque ne consent à prêter de l’argent à la Grèce pour acheter du pétrole… laquelle se tourne… vers l’Iran. Vive la démonocratie !

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    « Le génocide algérien (1830-1871) Libye : le FMI fait semblant - fév 2012 »
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