La conférence de presse du ministre russe des Affaires étrangères, Sergey Lavrov, sur le bilan de la diplomatie russe en 2011 a été l’occasion d’un rappel au droit international.
Concernant la Syrie, le ministre a répété que Moscou ne laisserait pas le Conseil de sécurité légaliser une agression, ni même des sanctions, et qu’il continuerait à commercer avec Damas.
De son côté, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Liu Weimin, a apporté son soutien aux observateurs de la Ligue arabe et a affirmé que leur présence est bénéfique.
Si la fermeté de la Russie est accueillie avec empathie par la presse allemande et vaticane, elle est incomprise par le reste de la presse européenne qui persiste à battre les tambours de la guerre en évoquant une « urgence humanitaire », et préfère traiter les nouvelles sanctions édictées unilatéralement par l’Union européenne.
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• Dans Le Figaro, Georges Malbrunot assure que des officier de la Garde républicaine syrienne sont en formation à Téhéran. Ce faisant, l’auteur dément ses imputations précédentes selon lesquelles les Gardiens de la Révolution iranienne seraient venus réprimer des manifestations en Syrie.
• Le Financial Times Deutchland estime que les événements en Syrie ont provoqué, en 2011, une récession de 2 %. Le Wall Street Journal a enquêté sur la manière dont la Russie et l’Iran permettent à la Syrie de contourner l’embargo unilatéral sur le pétrole et les armes décrété par l’Union européenne et les USA. Quoi qu’il en soit, selon le Daily Star de Beyrouth, la livre syrienne s’est considérablement dévaluée. Il en fallait 47 pour acheter un dollar avant les événements, il en faut maintenant 60 dans les banques syriennes, voire 71 dans les banques étrangères.
• Dans Le Figaro, Georges Malbrunot assure que des officiers de la Garde républicaine syrienne sont en formation à Téhéran. Ce faisant, l’auteur dément ses imputations précédentes selon lesquelles les Gardiens de la Révolution iranienne seraient venus réprimer des manifestations en Syrie.
• Le Financial Times Deutchland estime que les événements en Syrie ont provoqué, en 2011, une récession de 2 %. Le Wall Street Journal a enquêté sur la manière dont la Russie et l’Iran permettent à la Syrie de contourner l’embargo unilatéral sur le pétrole et les armes décrété par l’Union européenne et les USA.
Quoi qu’il en soit, selon le Daily Star de Beyrouth, la livre syrienne s’est considérablement dévaluée. Il en fallait 47 pour acheter un dollar avant les événements, il en faut maintenant 60 dans les banques syriennes, voire 71 dans les banques étrangères.
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Documents joints
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