• Vive le Parlement européen

    Cette fameuse entité où règne la plus totale démocratie dont on reste béat d'admiration. Le Parlement européen a une première qualité essentielle :
    - Les peuples européens n'élisent pas son Chef Barroso  et non plus , la baronne Asthon dont le CV est impressionnant  -
    Wikipédia
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    Catherine Margaret Ashton, née à Upholland dans le Lancashire le 20 mars 1956, baronne Ashton of Upholland depuis 1999, est une personnalité politique britannique, haut représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité‎ pour l'Union européenne à compter du 1er décembre 2009. En vertu du traité de Lisbonne, elle est aussi première vice-présidente de la Commission européenne.

    ASTHON est un cas original

    Une nomination critiquée 

    La nomination de Catherine Ashton en tant que représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères, a fait l'objet de critiques virulentes au sein même du parlement européen, notamment par le député eurosceptique Nigel Farage (Royaume-Uni) le 25 novembre 2009 à Strasbourg[6]. Nigel Farage dénonça le fait que Mme Ashton n'avait jusqu'alors jamais été élue démocratiquement, et n'a jamais de sa vie exercé le moindre travail dans le secteur privé. Mise en doute pour son inexpérience diplomatique, elle a également dû s'expliquer devant les députés européens sur sa fonction de trésorière du mouvement du désarmement nucléaire, dont 40% des fonds n'avait pas de provenance claire et qui aurait été financé par l'URSS[7].

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    Catherine Ashton perçoit un salaire de 328,000 £ par an, ce qui fait d'elle la politicienne la mieux payée au monde[4]. Elle est assistée d'un personnel de vingt personnes, se voit allouer un véhicule avec chauffeur et est indemnisée pour son logement[5].

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    Madame la Baronne.......?

    Elle est nommée pair à vie en tant que baronne Ashton of Upholland en 1999 par Tony Blair qui a l’objectif d’obtenir la ratification par la chambre des Lords du traité d'Amsterdam, en évitant de consulter le peuple britannique par un référendum.

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    Vraiment, je suis admirative devant cette entité que je nomme " Démocratie dinette".

    les peuples européens se déplacent pour les référendums qui sont essentiellement revus et corrigés. voir le Traité de Lisbonne . On laissera le fait que 80% des lois votées par le Parlement français sont pondues par l'UE:

    http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=1989

    Drôle d'entité qui critique la Russie mais qui a besoin d'être financée:

    Crise de la dette: la Russie prête à aider l'UE (Poutine) (lien)
    Sur le même sujet


    En résumé, avec un aussi beau palmarès, je comprends que l'UE "démocratie dinette" s'arroge le droit de critiquer la vilaine Russie avec son vilain dictateur Poutine.


    Katia
    Anciennement française et heureuse de vivre en Russie avec son dictateur Poutine.

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    La Russie n'acceptera jamais d'être déstabilisée (Poutine)

    Premier ministre russe Vladimir Poutine lors d'une séance annuelle de questions-réponses avec la population

    Premier ministre russe Vladimir Poutine lors d'une séance annuelle de questions-réponses avec la population

    © RIA Novosti. Aleksey Nikolskiy

    13:24 15/12/2011

    MOSCOU, 15 décembre - RIA Novosti

    La Russie n'acceptera jamais d'être victime de manœuvres de déstabilisation de la société, a déclaré jeudi le premier ministre russe Vladimir Poutine lors d'une séance annuelle de questions-réponses avec la population.

    "Oui aux protestations qui doivent obligatoirement se dérouler dans le cadre de la loi. Oui au désaccord avec le pouvoir, car il ne se conduit pas toujours correctement. Mais j'estime incorrect de permettre de devenir victime de stratégies de déstabilisation de la société", a indiqué le chef du gouvernement russe.

    Selon lui, les "révolutions de couleur" sont le résultat d'une stratégie de déstabilisation de la société, émanant de l'étranger.

    Le premier ministre a également avoué avoir pris, au premier regard, les rubans blancs portés par l'opposition pour les contraceptifs.
    "Lorsque j'ai vu à la télé que certains portaient (à leur poitrine) des rubans blancs, j'avoue franchement, que j'ai d'abord pensé qu'il s'agissait de publicité  dans la lutte contre le SIDA, que les gens avaient accroché des contraceptifs… Ensuite,à y regarder de plus près, j'ai vu que c'était autre chose", a affirmé M.Poutine.

    "Mais ma première pensée a été que, voilà, tout va bien, les gens manifestent pour un mode de vie sain", a ajouté le premier ministre.

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    Madame la Baronne Asthon,  la haute représentante de l'UE après avoir critiqué la Biélorussie se met à faire des yeux à l'union eurasienne:

    L'UE intéressée par le projet d'Union eurasienne (Ashton)

    Catherine Ashton

    Catherine Ashton

    © AFP/ GEORGES GOBET /

    16:56 14/12/2011

    MOSCOU, 14 décembre - RIA Novosti

    L'Union européenne trouve intéressante l'idée de la Russie, de la Biélorussie et du Kazakhstan visant à créer une Union eurasienne, a déclaré mercredi la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton.

    "En tant qu'exemple d'intégration régionale, nous nous intéressons évidemment à ces initiatives, et j'en ai parlé à Moscou avec le chef adjoint du gouvernement russe (Igor) Chouvalov. Je pense qu'il en sera question lors du sommet Russie-UE à Bruxelles", a indiqué Mme Ashton dans une interview au quotidien russe Kommersant.

    Et d'ajouter que l'UE n'y voyait aucune contradiction.

    "Une coopération plus étroite entre les pays de la région et la Russie n'exclut pas des liens plus étroits entre ceux-ci et l'Union européenne", a relevé la haute représentante de l'UE.

    Les experts russes soulignent, de leur côté, que l'intégration dans le cadre d'une future Union eurasienne n'exclut pas l'élargissement de la coopération avec l'Union européenne. Selon eux, la création d'une Union eurasienne sur la base de l'Union douanière Russie-Biélorussie-Kazakhstan et de la Communauté économique eurasiatique (CEEA) est un projet d'intégration inédit pour l'Eurasie qui n'a rien à voir avec la restauration de l'Union soviétique.

    Début octobre, le journal russe "Izvestia" a publié un article du premier ministre Vladimir Poutine, dans lequel celui-ci s'est dit persuadé que l'Union douanière et l'Espace économique commun en cours de création par la Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan pourraient servir de base à une Union eurasienne.

    Selon le chef du gouvernement, il ne s'agit pas de substituer cette dernière à la Communauté des Etats indépendants (CEI), mais de créer un "maillon" reliant l'Europe à la région Asie-Pacifique.

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    Madame la Baronne Ashton est optimiste :


    Un bonjour à Sieur Sarkosy tant aimé des français,
    Katia.


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    Blog Dissonance.

     Alexandre Latsa, 33 ans, est un blogueur français qui vit en Russie. Diplômé en langue slave.

     Aujourd'hui je travaille comme chroniqueur pour l'agence de presse Ria Novosti, chaque mercredi, ma tribune est consultable ici. Je collabore également avec l'IRIS, l'un des principaux Think-tank francais.

     Je suis aussi collaborateur de l'institut Italien Eurasia-Rivista. Il m'arrive de participer à d'autres publications.

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    Les événements politiques et citoyens qu’a connu la Russie ces derniers jours ont sans doute une fois de plus été traités par le mainstream médiatique de façon excessive et erronée. Printemps russe, révolution des neiges, craquement du régime Poutine, révolution arabe a Moscou...

    Alexandre Latsa
    11:49 14/12/2011
    "Un autre regard sur la Russie" par Alexandre Latsa

    Les événements politiques et citoyens qu’a connu la Russie ces derniers jours ont sans doute une fois de plus été traités par le mainstream médiatique de façon excessive et erronée. Printemps russe, révolution des neiges, craquement du régime Poutine, révolution arabe a Moscou...

    Les qualifications excessives et souvent obsessionnellement dirigées contre la figure du premier ministre sont certes en adéquation totale avec quelques slogans que j’ai pu entendre lors de cette manifestation mais semblent bien loin de la réalité du terrain tout autant que de ce que pensent a ce jour la grande majorité des Russes.

    Cette fois-ci, le mainstream médiatique francophone n’a pas égalé le mainstream anglophone, dont une des principales chaînes de télévision a commenté les manifestations en Russie en utilisant des images d’émeutes en Grèce. On sait pourtant que les palmiers sont rares dans les rues de Moscou :), et que la police russe ne porte pas d’uniformes grecs. Tout commentaire est inutile, il suffit de regarder le reportage.

    Reprenons depuis le début.

    Suite aux élections législatives du 4 décembre, des cas de fraudes électorales ont été mis en évidence. Pour autant une analyse sérieuse et non émotionnelle montre que des différences entre les sondages, les sondages d’après votes, les estimations et les résultats ne seraient palpables que dans le Caucase ou éventuellement à Moscou, comme je l’avais mentionné ici.

    Il a été rappelé que la structure traditionnelle et conservatrice tchétchène (rôle des teïps par exemple) peut être un facteur de vote difficile à comprendre.

    Les autres fraudes dénoncées concerneraient donc essentiellement Moscou ou le score de Russie Unie aurait été gonflé, comme l’a affirmé en cours de dépouillement un sondage de sortie des urnes publié par l’institut FOM et qui a mis le feu aux poudres.

    Très curieusement ce sondage n’est plus en ligne aujourd’hui sur leur site, mais il a été repris sur de nombreux blogs. Quoi de plus simple à manipuler qu’un sondage d’après vote par un institut? Les mouvements de protestations n’ont donc concerné essentiellement que Moscou et Saint-Petersbourg, qui ont rassemblé les ¾ des manifestants du pays.

    Qu’en est-il, en réalité,  de la fraude dénoncée et propagée sur la toile, via les réseaux sociaux ou Youtube, et que les journalistes occidentaux citent sans relâche depuis les élections?

    ******************

    7.664 incidents de diverses natures ont été recensés sur l’ensemble des bureaux de vote durant ces élections (en Russie et à l’étranger). Parmi ces incidents, les cas récencés qui concernent des plaintes pour fraude au niveau de la comptabilisation des voix sont 437.

    Regardons maintenant ce que dit le site de l’association "indépendante" GOLOS, spécialisée dans la surveillance des élections: 66 cas recensés de différence entre les décomptes des observateurs et les résultats finaux, qui portent chaque fois sur des écarts de 100, 200 ou 300 voix, selon les cas.

    Même analyse pour Vedemosti qui publie une analyse détaillée de Moscou dans laquelle une 30aine de cas a été recensés par les observateurs d’Iabloko (parti d’opposition) pour toute la capitale. Peut-on imaginer que ces 20.000 voix en litige (estimation haute) ont permis à Russie Unie de doubler son score à Moscou?

    A-t-on remarqué que les observateurs "indépendants" ou ceux de GOLOS ou d’Iabloko n’ont pu observer à ce jour quelque fraude que ce soit dans le reste des 3.374 bureaux de vote de la capitale?

    Peut- on imaginer que ces quelques cas de fraudes dans tous le pays aient pu inverser totalement le résultat du scrutin?

    On peut sérieusement en douter. Depuis les élections, personne n’a contesté les irrégularités, fraudes et  dysfonctionnements systémiques relevés par les différents observateurs de partis politiques et des associations. Mais on ne peut pas encore comparer Moscou à Chicago, ou 100.000 voix avaient disparu lors d’une élection en 1982.

    En outre, beaucoup d’observateurs internationaux ont eux validé les élections, que l’on regarde par exemple ici, la, ici ou la.

    A propos d’Amérique: l’association GOLOS, très en pointe pour dénoncer les fraudes en Russie, est financée par les très puissantes associations américaines USAID et NED

    GOLOS vient d’être pris la main dans le sac, si je puis dire, puisque la presse russe vient de publier un échange mail entre la responsable de GOLOS et des responsables de l’USAID, leur demandant combien l’association pourrait facturer (lors de précédentes élections en Russie) pour… Des dénonciations de fraudes et d’abus.

    Mais le Buzz informatique sur des élections massivement truquées à bien fonctionné et ce sont sans doute environ 35.000 personnes qui se sont rendus à une grande manifestation samedi dernier à Moscou (j’y ai assisté)  afin de demander de nouvelles élections.

    La manifestation s’intitulait la révolution des neiges, et les participants portaient des œillets blancs mais également des fleurs. Cette association de symboles fait étrangement penser aux symboles des révolutions de couleurs (appelées également révolutions des fleurs) qui ont eu lieu en Serbie en 2000, en Géorgie en 2003 ou en Ukraine en 2004.

    Plus étrange encore, le site de la mystérieuse et nouvelle association qui organisait le mouvement s’intitulait de la même façon BelayaLenta. C’est un nom de domaine internet qui a été déposé aux Etats-Unis en octobre 2011...

    Cette manifestation était extrêmement intéressante à mon sens. Elle réunissait une galaxie très hétérogène de mouvements politiques et d’associations. Une partie des gens était venu voir ce qui se passait et étaient surpris de l’ampleur du rassemblement. Je décrirais le participant moyen comme un moscovite de la classe moyenne supérieure, jeune et plutôt de sexe masculin, présent car convaincu de s’être fait voler ses voix, lorsqu’il n’était pas simplement hostile au premier ministre Vladimir Poutine.

    Le meeting était co-organisé par les éternels opposants libéraux Boris Nemtsov, Michael Kassianov et Vladimir Milov, fédérés au sein du Parnas, ainsi que par Serguei Udaltsov, le leader du mouvement d’extrême gauche Front de gauche, également ancien membre de la coalition libérale/communiste "l’Autre Russie", qui rassemblait ultras d’extrême-gauche, nationaux-bolcheviques et libéraux pro-occidentaux.

    Les associations libérales et pro-occidentales étaient présentes.

    Le parti-communiste et Russie Juste étaient aussi représentés, ainsi que divers mouvements d’extrême gauche: des anarchistes , le front de gauche et des mouvements tiers-mondistes.

    Mais il faut ajouter un autre élément tout à fait inattendu pour un observateur étranger, la présence en force de représentants de l’extrême droite la plus dure, néo-nazis , nationalistes ou encore monarchistes.

    Les francophones qui liront ce texte se demanderont sans doute comment des gens aussi différents ont pu défiler côte à côte sans heurts.

    Il y a eu beaucoup de slogans anti-Poutine, mais pas de casseurs en fin de manifestation. Cette animosité à l’égard du premier ministre, dans les slogans, s’est donc exprimée dans des domaines très différents.

    Pour certains, c’est un autocrate, pour d’autres au contraire il n’est pas assez nationaliste, trop libéral ou pas assez à gauche.

    Un symbole était absent de cette manifestation, le blogueur Alexeï Navalny, qui semble parfaitement représenter cette synthèse inattendue entre libéraux et radicaux d’extrême droite. Ce blogueur très populaire à l’ouest (plus qu’en Russie), ancien du mouvement libéral Iabloko, est à l’origine du slogan "Russie unie parti des escrocs et des voleurs" qui est repris par les opposants à Vladimir Poutine.

    C’est aussi Navalny qui a lancé le slogan "vote pour n’importe qui sauf pour Russie Unie". Il a aussi participé cette année à la marche russe, cette marche de l’extrême droite, se "félicitant de pouvoir éduquer cette jeunesse radicale".

    Mais il s’est également fait pirater sa boite mail, ce qui a permis de mettre en évidence qu’il était (tout comme Golos cité plus haut) salarié de l’association américaine NED (une des structures essentielles de soutien aux révolutions de couleur durant ces dernières années dans l’espace postsoviétiques), mais également en lien étroit avec Alexandre Belov, le représentant d’une structure d’extrême-droite viscéralement anti Kremlin: l’ex-DPNI.

    A part l’influence de GOLOS et Navalny, il faut noter que les Etats-Unis ont promis récemment d’augmenter les aides aux associations qui opèrent en Russie, en affirmant que ces aides ne viseraient pas à miner la stabilité politique du pays. Ce dont on peut très sincèrement douter.

    J’ai assisté à cette manifestation et deux réflexions principales me viennent à l’esprit.

    D’abord le meeting s’est terminé dans le calme: c’était une démonstration de maturité de la société russe, tant au niveau des manifestants que de l’état. Désormais le mythe de l’état répressif sans cesse mis en avant n’est plus valide. Les manifestants ont respecté le cadre légal, tout s’est déroulé sans incidents notables.

    Ensuite les revendications sérieuses et constructives de beaucoup de manifestants (médecine gratuite et réforme de l’éducation par exemple), semblaient correspondre aux demandes d’un électorat proche du parti communiste ou de Russie Juste, les partis du nouveau bloc de gauche.

    Ce bloc de gauche qui va occuper environ 1/3 de la nouvelle assemblée semble donc être la réelle force d’opposition qui a émergé des élections du 4 décembre, bien plus qu’une hypothétique et fantasmatique coalition orange/brune/rouge, réunie dans un meeting organisé par d’éternels perdants ou par des leaders de groupuscules.

    Il est plausible que désormais la vie politique russe puisse se structurer autour de deux grands blocs:

    1/ un centre droit autour de Russie Unie et,

    2/ un grand courant de gauche.

    Ces deux réflexions me font penser que la vie politique russe devrait ainsi garder sa stabilité, en renvoyant les projets américains de révolution de couleur en Russie aux oubliettes de l’histoire.

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  • EN 2015.. on voit l'hypocrisie qui mène les Peuples de l'Europe de l'Ouest.. vers... à suivre..

    MOSCOU, 14 décembre - RIA Novosti

    L'Union européenne trouve intéressante l'idée de la Russie, de la Biélorussie et du Kazakhstan visant à créer une Union eurasienne, a déclaré mercredi la chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton.

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